Corneille ne se serait jamais permis une faute de goût ; pas plus que ces personnages attablés, ni le petit chien tout devant qui dévore à cœur joie son écuelle. Prendre le temps de sentir, de goûter, de se passer les plats, après avoir mis les petits dans les grands : tout cela ne fait-il pas partie, au 17e siècle comme aujourd’hui, des plaisirs de la table ?
Abraham Bosse
1638