Mais que pouvait bien boire Gustave Flaubert dans cette coupe en vermeil ? Café, thé, chocolat, ou encore vin ?
L’écrivain nous le révèle dans une lettre du 25 mars 1853 à Louise Colet, lorsqu’il se rappelle sa jeunesse : « Je buvais du cidre dans une coupe en vermeil. »
Philippe Jean-Baptiste Huguet
1798-1809